Fabula
(à Tounfit)
Au bout de l’infini de soi
Je sème mon âme naïve
Et l’Au-delà me crie : hé !
Il m’en souvient des Hommes
Qui ont péri dans l ‘ombre et le froid
Des sols humides !
D’aucuns vilipendent encor :
« Le goût du thé a bien changé ! »
D’autres : « Celui de la Patrie est autre chose »
Et, je me tais dans l’attente de mon sang !
Abou Joumana
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